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j'aime sette photo de manquin.
Par Anonyme, le 04.05.2025
po
Par Anonyme, le 04.05.2025
je mamelle alice .
Par Anonyme, le 04.05.2025
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Par Anonyme, le 04.05.2025
pourrai je avoir le texte du sketch del on disait du mal
Par Anonyme, le 18.09.2021
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Date de création : 14.10.2009
Dernière mise à jour :
14.01.2010
1895 articles
à la limite " les histoires mais de celles qui ont du sens et du contenu".
La levée de boucliers contre le projet de rendre optionnel l'enseignement de l'histoire en terminale S, dans le cadre de la réforme des lycées, suscite deux types d'observations.
Bien que le texte accouché par le ministère se réduise à quelques ajustements techniques qu'on aurait du mal à qualifier de réforme, les mesures envisagées se heurtent une nouvelle fois à la logique disciplinaire qui n'est pas, loin s'en faut, une logique éducative.
Alors que le second cycle se caractérise par un emploi du temps surchargé et par la lourdeur des programmes, il faudra qu'on nous explique comment on peut réformer le lycée -en essayant, notamment, de donner une certaine substance à l'accompagnement personnalisé- en ne touchant ni aux quotas horaires attribués à chaque discipline ni aux emplois du temps.
Conserver tel quel l'enseignement de l'histoire équivaut à amputer l'horaire de français, de math, de sport, à rogner davantage encore la culture scientifique, toutes choses dont la légitimité n'est pas inférieure à celle de l'histoire.
Les protestations ne seraient-elles pas le signe qu'on se refuse à toute réforme du bac et qu'on s'accommode fort bien, finalement, du lycée tel qu'il est ?
Pour les initiateurs de « l'appel des vingt » (au passage, on ne comprend pas quelle nécessité a poussé les dix-neuf à rechercher la signature de Finkielkraut…), qui mettent le projet Chatel en regard du débat Besson sur l'identité nationale :
« [La mesure envisagée] va priver une partie de la jeunesse française des moyens de se faire de la question une opinion raisonnée grâce à une approche scientifique et critique, ouvrant ainsi la voie aux réactions épidermiques et aux jugements sommaires. »
Tout cela est bien imprudemment écrit : car les « réactions épidermiques » et les « jugements sommaires » ne sont-ils pas, justement, le fait de ceux qui s'expriment aujourd'hui, notamment sur le forum ouvert pour la circonstance et qui, tous, ont connu un enseignement de l'histoire à plein temps, depuis le primaire jusqu'au lycée ?
Il suffit d'ailleurs de voir la quantité de références historiques -Jeanne d'Arc, Clovis, et beaucoup d'autres- qui émaillent ce forum pour se rendre compte des dérives idéologiques que l'histoire peut engendrer. L'histoire, ou, plus exactement, sa traduction scolaire qu'on appelle communément l'histoire à l'école.
En appeler aux valeurs citoyennes et critiques de la discipline historique, c'est oublier un peu vite que l'histoire telle que l'enseigne l'école, notamment l'école primaire, tourne encore autour de l'impérieuse nécessité de « faire naître chez l'enfant une conscience nationale » (la formule est de Chevènement) et qu'à ce titre, elle n'est probablement pas étrangère aux « réactions épidermiques », aux « jugements sommaires » qu'on feint de redouter.
De la conscience enfantine formatée par l'histoire nationale aux préjugés xénophobes et racistes, le lien est sans détour.
Les historiens, qui s'expriment dans l'appel des vingt et pour certains desquels on a le plus grand respect, n'ont pas montré semblable véhémence à l'encontre des programmes Darcos de 2008, potentiellement plus dangereux pour la mémoire et la formation du citoyen -parce que touchant tous les enfants à un âge où ils sont encore très malléables - que la suppression de quelques heures d'histoire en terminale.
Lorsque Pierre Milza dénonce « une régression formidable qui pourrait concourir à une amnésie générale », il escamote le fait -défaut regrettable mais assez courant dans la corporation des historiens- que l'histoire scolaire, lorsqu'elle faisait silence sur la colonisation ou la collaboration, sur les croisades ou sur tout autre thème qui mettait à mal le roman national, était précisément le vecteur privilégié de cette « amnésie générale ».
Au cours de la Première Guerre mondiale, des millions de jeunes sont morts dans les tranchées, de la façon la plus stupide et la plus inutile qui soit, parce que, écoliers, il avaient été gavés d'histoire, une histoire certes partielle et partiale qui leur faisait voir au-delà des frontières des étrangers, des ennemis, plutôt que des êtres humains.
Face aux égarements idéologiques dans lesquels elle s'est longtemps fourvoyée -mais cette période est-telle vraiment révolue ? - on en viendrait parfois à rêver que l'histoire n'eût jamais été enseignée
ET ALEXANDRE PREMIER A PARIS ON T EN A PARLE EN CLASSE...??? NON JE VOULAIS ETRE PROF D HISTOIRE POUR L ENSEIGNER MIEUX...MAIS IL FAUT D ABORD ABSORBER LEURS ELUCUBRATIONS...!!! ALORS J AI RENONCE...http://tumaraa.centerblog.net
j'ai connu une prof de français, la régression est partout , de VERSAILLES au moyen age.il n y a qu'une histoire, celle des nintendo ds, et des "wiiiiiiiiii".ma belle fille lit beaucoup et je crois qu'elle me le doit.http://tendresseoubliee.centerblog.net
je viendrai te lire demain,là je vais au dodo,chez moi il: y a un kdo pour les Messieurs mais tu les prends pas.....rirete souhaite une douce nuit
Bisessss
http://marinestla.centerblog.net
Seuls des incultes peuvent penser que l'enseignement de l'histoire est quelque chose qu'il faut négliger. Ou qu'on aurait le droit de négliger. L'histoire n'est déjà plus enseignée depuis 40 ans et c'est en partie de là, de l'ignorance crasse de l'histoire, que naissent la plupart des extrêmes.Ecrire un commentaire